Mindset

La vie inspirante d’un serial entrepreneur

1. Interview de Vincent Robert

Je suis très heureuse de pouvoir vous présenter un jeune homme a qui tout réussit.

Je suis allée à la recherche des clés de sa réussite car à 29 ans, il a déjà une expérience très riche en tant qu’entrepreneur et homme d’affaires à qui rien de résiste.

Être jeune et entreprendre est un énorme atout. On a toute la vie devant soi pour expérimenter, tester et améliorer sa stratégie de long terme.

Vincent Robert est originaire de l’île de La Réunion. Ingénieur en informatique de formation, il a travaillé 6 ans en entreprise avant de décider de changer radicalement sa vie et de bâtir une trajectoire qui l’inspire.

Depuis, il est devenu :

    • investisseur immobilier
    • entrepreneur dans le digital marketing
    • créateur d’une école et communauté d’entrepreneurs à l’île de La Réunion

Comment s’est possible ? Tout est possible pour celui qui se forme, implémente et s’entoure de personnes qui ont la même vision.

Quels sont les principales stratégies qui ont permis à Vincent d’avoir une vie alignée à ses valeurs et d’inspirer des centaines d’entrepreneurs ?

    • la formation
    • la confiance en soi
    • la vision sur 100 ans (quelle trace on souhaite laisser sur Terre)
    • avancer sans regarder en arrière
    • valider le pire qui puisse arriver
    • s’entourer de mentors
    • implémenter

Je vous laisse sans plus attendre en compagnie de Vincent et ses conseils précieux pour tout entrepreneur ou candidat à l’entrepreneuriat  !

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Merci 🙂

2. Transcription de la vidéo

Détélina : Bonjour et bienvenue sur Business we like.

Aujourd’hui j’ai le plaisir d’être avec Vincent Robert.

Vincent : Bonjour à toi.

Détélina : Bonjour Vincent. Avec Vincent on se connait depuis plus d’un an.

Vincent : Oui.

Détélina : A vrai dire, on fait partie du même Mastermind d’entrepreneurs et investisseurs.

Alors j’ai été vraiment surprise la première fois où j’ai rencontré Vincent puisqu’il a vraiment une trajectoire incroyable.

Il y a encore à peu près deux ans, il était encore salarié.

Vincent: Un an.

Détélina : Un an. Il y a même un an, il était encore salarié à Paris. En un an, il a décidé de complètement changer sa vie et il a réussi. Non seulement qu’il a réussi mais il lance chaque semaine, on peut le dire, un nouveau projet, un nouveau séminaire, un nouveau programme, des rencontres… donc voilà. Je le laisse se présenter brièvement et puis nous en dire un peu plus.

Vincent : Ok. Merci à toi en tout cas de m’accueillir sur ta chaîne. Donc je m’appelle Vincent Robert. J’ai 29 ans et… moi à la base je viens de l’île de La Réunion.

Détélina : Voilà

Vincent : Et j’ai quitté l’île il y a 10 ans parce que mise à part la fac, le chômage, le surf et les filles, il n’y avait pas grand-chose. Du coup, comme j’avais plus d’ambition, j’avais marre de tourner en rond sur mon île. Je voulais vraiment aller vers un pays où il y avait plus de choses.

Donc je suis allé à Paris. L’endroit, on va dire « The place to be » quoi. J’y ai fait mes études : trois ans d’école d’ingénieurs.

Détélina : D’accord.

Vincent : Et ensuite j’ai signé un CDI en tant qu’ingénieur en informatique. Et tout ça pourquoi ?

Parce que ma grand-mère, mes parents, ma famille me disaient que « Si tu veux réussir dans la vie, il faut un bon travail. Enfin, travaille dur à l’école, tu auras un bon travail et un bon salaire ».

Détélina : Et puis c’est un métier d’avenir. Il faut dire que dans l’ère du numérique…

Vincent : Exactement.

Détélina : … il y a de quoi faire.

Vincent : C’est ça, c’est ça. Et du coup je me suis dit : « Même ingénieur, les ingénieurs ils sont bien payés, donc autant faire ce métier ».

Et au final, quand je suis arrivé dans ce métier-là, la première chose qu’on m’avait demandé de faire, et je m’en souviens, c’était d’aller faire des photocopies. Et je me suis dit : « Je suis ingénieur et je vais faire des photocopies. Je ne comprends pas. »

Détélina : Oui…oui, c’est la dure réalité des choses. Ça n’a pas duré des années ?

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Vincent : Ça a duré, non, quelques mois mais…

Détélina : Oui.

Vincent : Ça m’a choqué quand-même.

Détélina : Donc, tu es le pro des photocopies ?

Vincent : Oui.

Détélina : Donc, vous savez où le trouver.

Vincent : Oui ! Expert en photocopies.

Détélina : Voilà.

Vincent : Et ensuite ce qui s’est passé, j’ai commencé et au bout d’un an je voyais l’augmentation qu’ils m’avaient donné. Ça correspondait à un café par mois, l’augmentation que j’ai eu.

Détélina : Oui.

Vincent : C’était vraiment pas grand-chose, même si le café est cher à Paris. Et puis voilà. J’ai commencé à me dire « Il faut que je trouve d’autres solutions. Quelque chose où je pourrais atteindre mes objectifs et surtout vivre la vie qui m’inspire ». Parce que c’était ça le plus important pour moi en fait.

C’était pas vraiment gagner de l’argent mais vivre la vie qui m’inspire.

Détélina : Donc c’est ta première déception dans ton premier travail qui a fait un déclic ?

Vincent : Exactement. C’est ça.

Et dans ce métier je suis resté un peu plus de 6 ans d’ailleurs. Et ce qui s’est passé c’est qu’en janvier 2017, j’avais 1h30 de trajet de métro. Et dans ce temps-là, j’habitais dans le sud de Paris et je travaillais dans le nord de Paris. Donc, je prenais le métro, un bus et une navette fluviale.

Du coup, j’étais arrivé au comble. 1h30, c’était tout le temps bondé. Dire que le métro puait la défaite, c’est vraiment résumé.

Détélina : Dans un environnement qui n’avait rien à voir avec celui de La Réunion.

Vincent : Exactement, C’est ça. Et là, ce jour-là j’avais posé ma tête sur la vitre, j’étais vraiment fatigué. C’était en janvier 2017 et souvent en janvier, on prend de bonnes résolutions.

Détélina : Oui.

Vincent : Et là ce qui s’est passé, je me suis dit : « Vincent, est-ce que tu es arrivé sur Terre pour vivre cette vie-là ? »

Je pense que… il y a une histoire, moi, qui me parle beaucoup. Quand on naît en fait, il y a les spermatozoïdes et ce qui est fou c’est que quand on arrive sur Terre, c’est qu’on s’est battu contre des millions de spermatozoïdes.

Détélina : Oui.

Vincent : Et il y a un seul qui a gagné : c’est nous , c’est toi. Et du coup, je me suis dit : « Si je me suis battu contre des millions de spermatozoïdes, qu’est-ce que je fais là à vivre cette vie ! »

Détélina : Je suis un champion de naissance.

Vincent : Exactement. C’est ça. Et là, à partir de là je me suis dit : « Je mets tout de côté : mon ego, toutes les excuses que je me trouvais. Et maintenant j’apprends et j’évolue, j’évolue, j’évolue. »

Détélina : Et j’imagine que ton cercle proche, la famille, les amis, n’ont pas été toujours compréhensifs ou peut-être ils ont eu peur pour toi.

Vincent : C’est sûr.

Détélina : Comment tu as réussi à franchir ce cap, à les mettre de ton côté ?

Vincent : Moi, l’avantage que j’ai eu c’est que ma famille est à l’île de La Réunion et moi j’étais à plus de 10 000 km. D’un côté je n’avais pas de contact avec eux, donc je pouvais « faire ce que je voulais ».

Mais là, dernièrement quand j’ai quitté mon activité ils se disaient : « T’es sûr, t’as la sécurité de l’emploi, t’as ton appartement, t’as un bon travail, t’as tout ce qu’il faut. Pourquoi tu veux quitter ? »

Et je leur ai tout simplement dit : « Si toi à l’époque, tu avais l’opportunité de vivre la vie qui t’inspire, est-ce que tu l’aurais fait ?

Et à partir de là ils m’ont dit…enfin, il y a eu une « minute de silence ». Et là, ils m’ont dit : « T’as raison fonce ! »

Détélina : Est-ce qu’à un moment donné t’as eu des doutes…

Vincent : Bien sûr.

Détélina : … sur ta réussite.

Vincent : Bien sûr. Mais des doutes j’en ai eus. Evidemment. Mais là je me suis dit : « Qu’est-ce qui est important pour moi ? » Je me suis posé cette question : « Qu’est-ce qui est important pour moi ? »

Détélina : Et puis peut-être tu as imaginé le pire qui puisse arriver.

Vincent : Toujours.

Détélina : Voilà.

Vincent : En fait à chaque fois quand je me lance dans un projet, dans une activité, dans une nouvelle entreprise, je valide en fait le pire du pire.

Détélina : Et une fois qu’on peut survivre à ça, on est apte à continuer.

Vincent : Exactement. Parce que demain vous créez une entreprise. Le pire du pire qui puisse arriver c’est quoi ? C’est que l’entreprise fasse faillite. Si l’entreprise fait faillite c’est financier et vous, vous êtes toujours vivant.

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Mais par contre, le cumul d’expériences que vous avez eues, le cumul de compétences que vous avez eues en créant l’entreprise, ça vous permet de créer une nouvelle qui cartonnerait.

Détélina :  Tout à fait. Donc aujourd’hui, en moins d’un an, Vincent est devenu investisseur immobilier, entrepreneur et aussi… il inspire de nombreux entrepreneurs sur l’île de La Réunion.

Vincent : Oui.

Détélina : Alors, qu’est-ce que tu as lancé, qu’est-ce que tu as créé depuis ?

Vincent : Depuis que j’ai quitté mon boulot de salarié, on va dire, j’ai lancé ce qu’on appelle un peu une école sur l’île de La Réunion qui s’appelle « L’entrepreneur Péi ».

En fait, c’est une école qui permet aux gens de devenir libre financièrement et de devenir entrepreneur.

Et là, je fais plusieurs séminaires sur l’année, donc deux : l’un lié à l’entrepreneuriat, l’autre lié à l’immobilier.

Détélina : C’est quand ? À quelle période ?

Vincent : C’est le 1er et 2 juin. Enfin, c’est tout le temps en juin.

Détélina : D’accord.

Vincent : Premier week-end de juin. Et l’immobilier, c’est le deuxième week-end de septembre.

Détélina : En fait, tu invites les entrepreneurs de La Réunion ou les candidats à l’entrepreneuriat à venir prendre les bonnes clés, prendre de la motivation…

Vincent : Exactement.

Détélina : …faire du networking, s’inspirer de ceux qui réussissent.

Vincent : C’est ça. Exactement. T’as tout résumé.

Détélina : Voilà.

Vincent : Et ça en fait. Moi je suis très dans créer une communauté entre entrepreneurs. Et il y a un truc qui est énorme c’est que tout seul… en fait tout seul, on est plus faible mais quand on est à plusieurs, ça peut faire mal.

Détélina : Tout à fait.

Vincent : Donc, l’idée c’est de travailler en communauté, de travailler ensemble. Mon but c’est vraiment de créer une communauté d’entrepreneurs Péi.

Détélina : Donc, les réseaux, les contacts que vous pouvez créer lors de ce type d’évènement sont vraiment précieux.

N’hésitez pas à aller voir le profil de Vincent. Vous pouvez le retrouver… où Vincent ?

Vincent : Sur Facebook, sur Instagram, Vincent Robert. Et mon site internet : vincentrobert.fr.

Détélina : Donc, il y a toute l’actualité.

Vincent : Il y a tout ce qu’il faut lié à l’entrepreneuriat.

Détélina : Très bien. Si tu as 3 conseils à donner à celui qui veut se lancer aujourd’hui dans l’investissement, dans l’entrepreneuriat… et qui hésite, qui a peur, qui ne sait pas s’il est capable d’aller jusqu’au bout de son rêve, qu’est-ce que tu lui dirais ?

Vincent : Alors, dans un premier temps, ça serait de…, je dis souvent, se former, parce que « se former » il n’y a pas que l’aspect « monter en compétences ». Il y a aussi « augmentation de sa confiance ».

Parce que mieux on sera formé et plus ce sera simple pour nous de pouvoir avancer. Parce que, comme tu dis, le fait d’avoir les clés pour pouvoir avancer, ça fait déjà gagner du temps et…

Détélina : …de l’énergie.

Vincent : En même temps on voit ce qui est possible et qu’est-ce qu’on peut faire.

Détélina : On prend des raccourcis.

Vincent : C’est ça, on prend des raccourcis. Et surtout quand on se forme, souvent par le biais de séminaires, par le biais de formations en ligne, et là on peut rencontrer d’autres personnes qui sont comme nous, qui veulent avancer comme nous et qui ont des objectifs comme nous.

Détélina : Très bien. Mais tous ces entrepreneurs qu’on va rencontrer, ils ne vont pas faire le boulot pour nous. Ensuite ?

Vincent : Exactement. Et ensuite : de mettre son ego de côté. Ça c’est quelque chose qui me tient à coeur parce que j’avais beaucoup d’ego avant d’avoir ce déclic qui m’a permis de réussir aussi rapidement. C’est mettre son ego de côté et d’apprendre de tout le monde.

Détélina : C.à.d., ça veut dire quoi exactement pour toi ? D’accepter l’échec éventuel ?

Vincent : Ça oui mais c’est pas forcément accepter l’échec. C’est le fait d’apprendre de tout type de personnes. Ça veut dire que quelqu’un qui a de l’ego ne peut pas évoluer.

Détélina : Tout à fait.

Vincent : Parce que quand tu as de l’ego, tu es vraiment…, tu te dis : « Tout ce que j’ai, ça suffit pour avancer. »

Détélina : Et puisque je n’ai plus besoin d’apprendre, je suis déjà à un niveau assez élevé… J’ai beaucoup étudié, je sais tout. A ce moment-là, on arrête de progresser.

Vincent : Exactement. C’est ça. Et d’ailleurs quand on arrête de progresser, on arrête de réussir.

Détélina : …et on commence à régresser.

Vincent : Exactement.

Détélina : En fait, il y a que deux directions. Vers le haut ou vers le bas.

Vincent : Exactement.

Détélina : Soit on progresse, soit on régresse.

Vincent : Exactement. Et ça c’est lié à l’ego.

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Détélina : Très bien.

Vincent : Et troisième conseil : ça serait… de brûler les bateaux. En fait, brûler les bateaux, c’est une expression. L’histoire rapidement c’est qu’il y a une guerre… dans la Grèce antique. Et à un moment donné, c’était…, je sais plus c’était quelle ville ou quel quoi que ce soit…

Détélina : Oui, oui.

Vincent : Mais à un moment donné, il y a une ville qui est arrivée, enfin, des soldats qui sont arrivés en bateau.

Détélina : En minorité.

Vincent : En minorité. Et en fait, ce qui s’est passé, c’est que le chef de ces soldats-là, il a dit à tous ses soldats de brûler les bateaux. Et les soldats, ils disaient : « Mais vous êtes fou, comment on fait pour repartir et tout ?

Détélina : Vous repartez pas.

Vincent : Et le chef a dit : « Maintenant c’est réglé. Vous repartez pas. On avance point barre.

Et « brûler les bateaux » c’est vraiment oublier ce qu’on a eu dans le passé. Pas forcément oublier mais  laisser de côté et avancer, avancer, avancer.

Détélina : Donc, vous l’avez compris. Il a vraiment un état d’esprit de champion, de quelqu’un qui ne lâche pas et qu’il a qu’une seule option, c’est de réussir !

Donc, c’est ainsi qu’on arrive en si peu de temps à être tellement créatif, à être tellement déterminé et de ce fait, d’inspirer les autres.

Vincent : Exactement.

Détélina : Aujourd’hui, si tu te retournes en arrière… est-ce que tu es devenu la personne que tu as voulu être ? Est-ce que tu es arrivé au bout d’un rêve ou c’est le début ?

Vincent : En fait, je ne dirais pas que je suis arrivé au bout d’un rêve parce qu’un rêve pour moi, ça sert juste à alimenter l’énergie qui te permet d’avancer. Mais j’ai atteint plusieurs objectifs qui me tenaient à coeur, dont celui d’être libre et de faire ce que je veux.

Détélina : Voilà.

Vincent : Mais c’est sûr qu’on a de plus en plus d’objectifs. Ça c’est super important ! Mes prochains objectifs… déjà il y en a que je vais réaliser très bientôt par la revente de l’un de mes appartements. Là je dégage une plus-value en termes de chiffres de 70 000€.

Donc… et grâce à cette plus-value là, je vais pouvoir m’acheter une Porsche Cabriolet et c’était un de mes rêves. Et surtout, c’est pas vraiment la voiture, c’est surtout faire le tour d’Europe.

Détélina : Avec.

Vincent : Mettre la voiture dans le container et l’envoyer à l’île de La Réunion. Et ça c’est un rêve… car c’est un objectif que j’ai eu il y a 10 ans.

Détélina : Donc, tout ça tu l’as imaginé et tu es en train de le réaliser.

Vincent : Exactement. Et ce qui est fou c’est que quand on pose réellement ses objectifs, concrètement ses objectifs… ce qui est fou c’est peu importe le temps que ça va prendre, c’est sûr que ça va être réalisé.

Détélina : Tout à fait. Un pas chaque jour.

Vincent : C’est ça.

Détélina : Une petite victoire chaque jour et une seule direction, c’est en avant.

Vincent : Exactement. Il y a quelque chose qui m’a énormément aidé, c’est de travailler ma vision sur 100 ans. Parce que quand on regarde… On peut faire sa vision sur un an, dix ans, quinze, vingt, cinquante.

Mais quand on regarde sa vision sur 100 ans, on va vraiment toucher ce qui est important pour soi. Et là c’est vraiment toucher au plus profond de nous-mêmes. Et le fait d’avoir validé ma vision sur 100 ans… j’ai vraiment écrit c’est quoi ma vision sur 100 ans, quelle trace je voulais laisser sur Terre.

C’est là qu’on va connecter aux projets qui sont les plus importants pour nous. Et même s’il y a des obstacles, s’il y a des échecs, peu importe ce qui se passe, sur 100 ans, c’est rien.

Détélina : Et c’est là où on élimine tout ce qui est secondaire et on prend de la hauteur.

Vincent : C’est ça. Exactement.

Détélina : Et on se focalise sur les grandes priorités.

Vincent : C’est ça. Exactement.

Détélina : Magnifique leçon de vie. Un immense Merci Vincent !

Vincent : Merci à toi.

Détélina : Donc, n’hésitez pas à me suivre, n’hésitez pas à télécharger mon bonus « Créer un bien d’exception ».

C’est que le début d’un cheminement, c’est que le début de l’entrepreneuriat et puis, c’est tout simplement le début d’une nouvelle vie où tout est possible, comme vous pouvez le voir.

Vincent : Exactement. C’est ça. Tout est possible. Je valide 🙂

Détélina : Merci beaucoup Vincent.

Vincent : Merci à toi.

Détélina : A bientôt.

Vincent : Salut.

Détélina : Salut.

2 thoughts on “La vie inspirante d’un serial entrepreneur

  1. Bravo pour cette interview qui donne la pêche ! Et puis une vision sur 100 ans, alors là, je retrouve une seconde jeunesse!!!
    au tournant d’une vie déjà riche, je me sens éblouissante d’énergie ! Merci, merci !

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