1. Interview de Cédric Annicette
Le leadership n’est pas un talent inné. C’est une décision suivie d’un cheminement !
On peut réveiller le leader qui sommeille en nous et lui permettre de développer pleinement son potentiel.
Les vrais leaders sont des créateurs et initiateurs de changements profonds dans la société. Dans un monde où l’intelligence est en abondance, c’est le courage qui manque.
C’est justement ce mélange rare et précieux d’intelligence, courage, vision de long terme et persévérance qui permet aux grands leaders d’influencer des millions de gens.
Cédric Annicette est une de ces personnes qui, un jour, ont eu un rêve : avoir une vie où tout est possible !
Il y est parvenu en mettant au centre de sa quête la liberté financière.
J’ai eu l’immense plaisir d’interviewer ce leader des temps modernes. Découvrez le parcours inspirant d’un homme d’affaires qui s’est construit tout seul tout en amenant dans son sillon des milliers de personnes en quête d’une meilleure vie !
Prenez des notes et appliquez chaque conseil. Repoussez les limites. Vous serez surpris du résultat 🙂
Si vous pensez que cette vidéo peut aider d’autres personnes, n’hésitez pas à la partager.
2. Transcription de la vidéo
Détélina : Bonjour. Bonjour Cédric.
Cédric : Salut.
Détélina : Merci d’être avec nous un soir.
On est en Italie avec Cédric Annicette que beaucoup d’entre vous connaissent. Investisseur, entrepreneur et surtout, l’un des pionniers de l’indépendance financière en France.
Merci de m’accorder cette interview !
Cédric : Merci à toi, c’est cool. Je tiens à préciser que tu es dans mon Mastermind.
Détélina : Oui.
Cédric : Donc de manière générale, je n’aime pas trop faire des interviews parce que ça te prend du temps et qu’on me le demande tous les jours.
Mais comme tu es dans mon Mastermind et qu’on est là, on est une quarantaine d’entrepreneurs ici. Et puis du coup je te connais depuis un peu plus d’un an donc, je suis ravi, c’est cool.
On va bientôt aller boire un verre et faire une petite soirée avec tous les entrepreneurs et c’est cool. On fait ça là donc on est fatigué mais on est là. On est présent, on a travaillé toute la journée plus un peu hier mais c’est cool.
Détélina : Exactement. Et on le fait pour vous parce qu’on a travaillé toute la journée et demain ça continue sur le mindset, sur les techniques qui marchent, sur les cas d’études.
Et Cédric est une mine d’or en termes de clés de la réussite. Donc vraiment, merci de m’accorder cet interview.
Alors je commencerais par te poser une question, j’imagine qu’on te pose très souvent, qu’est-ce qui t’a fait basculer de monde ? Qu’est-ce qui a fait que toi, ingénieur en informatique un jour tu t’es dit que « la vie qu’on m’a promise n’est pas celle qui me convient » ?
Cédric : Le déclic ?
Détélina : Le déclic, exactement.
Cédric : En fait, si tu veux, quand on se rappelle quand on est enfant, moi si je regarde mes enfants, en tout cas le plus grand qui a 5 ans, lui, il ne se dit pas « je veux être dans la rate race et je veux travailler dans un bureau et c’est normal jusqu’à la retraite ».
Lui, il veut s’amuser, il veut rigoler tous les jours, il veut s’amuser. Avec son papa, sa maman, ses copains, ses cousins. Et il veut s’amuser, il veut en profiter, il veut vivre des aventures, il veut jouer. Il aime jouer. Tu vois quand tu es petit, tu ne sais pas.
Mais après, quand on grandit, on nous dit qu’en fait, non, tu n’as plus le droit de jouer maintenant, tu es grand donc déjà tu vas à l’école, tu vas étudier pendant 5 ans. Et après, tu travailles pendant 40 ans et après tu pourras rejouer quand tu seras à la retraite.
Donc ça, c’est un gros mytho. Mais du coup, nous, on oublie qu’effectivement, on a le droit de jouer et moi il s’avère que j’ai plusieurs passions. On a tous des passions.
Moi je bossais à la défense comme tu l’as dit en tant qu’ingénieur dans une salle marché, support traders. Et je me dis : « mais pourquoi je suis coincé là alors que j’ai envie d’aller faire de la voile, dans les Caraïbes, en Guadeloupe. Je veux faire de la voile maintenant. Et pourquoi je devrais rester ici jusqu’à 20 heures et pourquoi j’aurai le droit que quand mon boss dira que j’ai une semaine de vacances ou deux. Pourquoi ? Pourquoi je ne peux pas en faire maintenant ou demain ? »
Et je lève les yeux et là je vois ce fameux néon jaune, cet exemple, je le répète souvent. Ce fameux néon jaune à la défense, Tour Chassagne, 13ème étage, Société générale.
Et là je dis « non, ce n’est pas possible, ce néon jaune ne peut pas rester comme ça, ce n’est pas possible ». C’était le déclic.
Et là, c’était en 2008 et là je me dis « non, il doit y avoir des solutions pour gagner de l’argent, investir, ça doit marcher ce truc-là ». Investir, créer des business et de séparer ton temps de tes revenus ». C’était le déclic. 2008.
Détélina : Et donc là, tu t’es lancé tout de suite dans l’immobilier, dans les business sur Internet et dans les formations ? Tu cherchais par tous les moyens des leviers de croissance ?
Cédric : J’ai tout testé. J’ai testé beaucoup de choses.
Détélina : Tu as testé beaucoup de choses, donc ce n’était pas le premier qui a fonctionné forcément, qui t’a propulsé ?
Cédric : Non, j’ai fait… si vous allez sur mon blog businessattitude.fr, vous allez voir les posts.
Aujourd’hui, il n’y a plus du tout d’articles là-dessus parce qu’encore une fois, pour moi, le blogging, c’est mort. Il y a d’autres manières… Enfin je ne sais pas où tu vas mettre sur ta vidéo, sur YouTube ou …
Détélina : Sur YouTube et sur mon blog. Mais moi j’aime bien écrire.
Cédric : Mais les gens vont la voir sur YouTube.
Détélina : Exactement.
Cédric : J’adore écrire aussi. Et les gens n’ont jamais autant aimé consommer ce que tu peux produire.
Mais tu vas le mettre sous un autre format. Sur Instagram, tu peux l’écrire aussi ou par mail ou dans une lettre papier. Mais le papier revient en force. Là je vois, il y a ton porte-document. C’est du papier.
Moi, j’adore le papier, ça revient en force. Donc moi j’envoie des lettres par la Poste aux gens et on adore ça.
A l’époque, quand on recevait un mail, on était tout content. « J’ai reçu un mail. Ouais ! » Et maintenant, on en a marre des courriers.
Aujourd’hui, c’est l’inverse. A part les impôts, on est super content et des mails, on en a trop et voilà, moi, regarde, les mails, par exemple là, j’ai 34.824 mails non-lus.
Détélina : Donc il ne faut pas lui envoyer un mail.
Cédric : C’était quoi ta question ?
Détélina : Ma question c’était : tu t’es lancé tout de suite sur plusieurs piliers, comment tu as trouvé les chevaux gagnants ?
Cédric : Oui je disais allez voir sur mon blog les articles de 2006, 2007, 2008 où je testais tout et je disais « voilà, je suis content, mon blog ce mois-ci m’a rapporté 12,14€ » parce que j’ai essayé de.., j’ai fait de la pub pour Célio, j’ai fait de la pub pour ci, ils m’ont donné tant d’argent, machin… J’ai essayé le Forex, j’ai essayé ci, j’ai essayé ça. J’ai perdu de l’argent ici, j’ai essayé ça.
Je disais des trucs, tu vois et quand ça marche, tu approfondis, tu « scale » sur ce domaine-là.
Mais après, selon moi, il y a 4 vrais piliers qui sont les marchés financiers, l’immobilier… mais encore une fois, dans les piliers il y a de bonnes manières et de mauvaises manières.
Donc les marchés financiers, la bourse si tu veux mais aussi les matières premières, tout ce qui est marché financier où tu peux t’enrichir mais aussi te « hedger », te protéger et faire fructifier ton patrimoine. L’immobilier. Encore une fois, je le disais là sur Instagram à une jeune femme qu’avec 1 bon deal immobilier, tu peux remplacer ton salaire. Elle est policière, elle me dit « est-ce que tu as un tuyau ? »
Les gens pensent que j’ai un tuyau. Non, avec un bon deal en immobilier, location à la semaine ou colocation, tu remplaces ton salaire de policière. Donc immobilier, soit en location soit en achat-revente comme t’as pu faire par exemple.
Le business sur Internet. Mais ça c’est passionnant parce que ça peut être du e-commerce, ça peut être de l’info-produit. Tu vois, ça peut être le e-commerce dans le dropshipping ou en stock avec ta propre marque. Il y a pleins de trucs.
Détélina : Aujourd’hui, il a trop de leaders internet sur le marché et qui affichent leurs résultats, leurs vies de rêve aux Seychelles, etc. et les gens pensent que c’est facile, que c’est rapide.
Il y a, il me semble une fausse image de la réussite aujourd’hui, comme quoi il suffit de le vouloir, on prend une formation rapidement et on doit ramasser des centaines de millions en 2 ans.
Or, il faut quand même dire qu’il y a du travail derrière, il y a la formation de mindset, on s’entour aussi des personnes qui doivent nous porter vers le haut.
En fait, c’est un process. Voilà. Le message, tu me diras si tu penses la même chose que moi, la route est longue mais ce qu’on peut faire facilement, c’est de se rapprocher des leviers. Des grands leviers qui vont faire la grande envolée.
Cédric : Le 4ème truc, c’est le business classique mais c’est vrai que je suis le premier à dire qu’il faut soulever de la fonte et travailler. Maintenant, avec le mindset que tu peux acquérir ou autre, moi je sais que si je perdais tout aujourd’hui, je ne remettrai pas 10 ans.
Franchement, si je repars à zéro aujourd’hui, je sais que dans 6 mois, j’ai 200.000€ sur mon compte en banque légalement, en partant de 0. Parce que j’ai un mindset et des connaissances en markéting, en vente, en business, je sais que ça ira plus vite parce que j’ai appris ça.
Mais sinon, pour apprendre tout ça, ça demande du temps et il faut te faire un réseau, il faut tester et en te formant, n’achetez pas mes formations mais en prenant une formation de Detelina ou autre, on pourra aller plus vite parce que c’est un raccourci.
Donc voilà mais c’est clair qu’il faut soulever de la fonte, c’est clair qu’il faut soulever beaucoup de fonte. Moi les gens aujourd’hui, il y en a beaucoup qui vont me découvrir sur Internet, ils vont voir que j’ai telle ou telle voiture, une Lamborghini ou une Porsche, une Ferrari et ils vont dire : « Oh la, il vend du rêve, il dit que c’est trop facile ».
Non. Ma première voiture de sport, une Porsch 911, je l’ai acheté 12 ans après. 12 ans après avoir bossé dur. Donc il y a un gros travail et j’ai soulevé de la fonte. Et aujourd’hui, effectivement, j’ai la « chance » d’être un peu plus libre que la moyenne mais c’est parce que j’ai travaillé en amont.
Détélina : C’est vraiment ça qu’il faut retenir. Il faut du travail, il faut de la vision de long-terme et un entourage positif qui vous propulse, qui vous soutient et surtout de prendre les difficultés sur la route non pas comme un arrêt de mort mais comme un cadeau qui vous fait grandir.
Cédric : Oui, on en parlait tout à l’heure. Regarde, j’ai fait venir mon avocat tout à l’heure pour parler de tout ce qui est juridique, dépôt de marque et on a des « problèmes » tous les jours
Détélina : Mais ça fait parti du jeu.
Cédric : Ça veut dire que tu montes. Voilà.
Mais après, le mindset est le plus important, effectivement, on en parlait tout à l’heure.
On est ici dans un couvent du XVème siècle, c’est à Milan, c’est un super hôtel et le bâtiment à 500 ans et il est encore là. Il est magnifique parce que ça a été fait sur des fondations propres, clean, bien pensé. Ils n’ont pas fait un truc en paille, à la va vite. Ça aurait disparu depuis belle lurette. Le truc, ça fait 500 ans et l’hôtel est magnifique. Donc allez voir Four Seasons Milan le bâtiment comme il est joli parce qu’en fait, les fondations ont été bien faites.
Et les fondations en tant que personne pour nous, homme ou femme, c’est le mindset le plus important et moi et toi, on a un mindset similaire. C’est-à-dire qu’on a une manière de penser complètement différente par rapport à la masse. Je parlais avant-hier, donc je suis venu à Milan par l’aéroport de Charles de Gaulle et il y avait une dame qui faisait la sécurité des portes, tu sais, là où tu passes, on te fout littéralement à poil, on t’enlève tout et la dame parlait à son collègue « t’imagine tu gagnes au loto ? Tu gagnes 10 millions d’euros, ce serait trop bien ».
Et moi j’entends ça, je suis obligé de réagir et je lui dis « mais vous savez, quand vous aurez vos 10 millions d’euros, du jour au lendemain, demain vous aurez les mêmes problèmes, les mêmes craintes, les mêmes envies, les mêmes soucis ».
Détélina : Et beaucoup de peurs de le perdre.
Cédric : L’argent ne change pas ça. Donc moi, j’adore l’argent. Honnêtement, ce n’est pas que ça rend heureux ou quoi.
Détélina : Mais le plus important, c’est ce que vous en faites.
Cédric : Si tu veux, l’argent te permet juste d’être libre. Tu peux être libre, tu peux avoir un meilleur avocat comme dirait Booba, je veux aller aux Maldives, demain j’y vais. Je veux aller voir une coupe du monde en Afrique du Sud, j’y vais. Je veux que mes enfants aillent dans telle ou telle école, ils y vont. Je veux apprendre le saxophone avec le meilleur prof, je peux. Ma femme adore la peinture, je décide de fabriquer un atelier d’artiste avec une verrière dans mon jardin. C’est ça en fait. C’est juste la liberté.
Tu fais ce que tu veux, quand tu veux, avec qui tu veux. C’est cool. Ça te permet de vivre des aventures.
Et quand on est enfant, on veut tous vivre des aventures et après on oublie, on a plus le droit, on est comme puni. Voilà, maintenant ce n’est pas pour nous, ce n’est pas pour moi donc on oublie et après c’est la retraite. C’est de l’arnaque.
La retraite est une question de moyens, pas une question d’âge. Et moi, quand j’étais sous le néon-là, je me suis dit : « je veux vivre des aventures, là, je me fais chier ».
Détélina : Et ça peut durer 40 ans.
Cédric : C’est ça. Je vais travailler dur, mais je vais avoir des résultats.
Détélina : Si c’était à refaire, est-ce que tu aurais fait exactement la même chose et de la même manière ?
Cédric : En gros, moi, quand j’ai commencé ça en France, j’étais un des premiers. Et si tu veux, il fallait avoir cette vision un peu de leader où tu te dis : « je vais faire un truc mais en fait personne ne l’a jamais fait donc est-ce que ça va prendre ? ».
Mais comme j’étais tellement convaincu que c’était la seule solution et que je n’ai pas de plan B en fait. Certains disent qu’il faut toujours avoir un plan B mais non parce qu’on est des êtres humains mais aussi des animaux et si on te dit : « prépare un plan B » ton cerveau te dit : « ce n’est pas grave parce que de toute façon, si je me foire, il y a le plan B, je peux me raccrocher là ».
Alors que si on te dit : « tu sautes là, tu as 2 mètres, il faut que tu sautes, si tu rates, tu n’as pas de filet en bas, tu tombes ». Tu vas bien sauter ou tu vas bien t’entraîner avant de sauter. Alors si on te dit « de toute façon, ce n’est pas grave, dans tous les cas on va te rattraper », t’es large.
Donc non, il ne faut pas qu’il y ait de plan B, c’est comme ça, tu dois réussir. Tu lèves de la fonte, tu y vas, tu sais que c’est bon. Tu ne te retournes pas, tu sais qu’il y a la solution quelque part.
On parle souvent de l’expérience où tu prends 2 rats, tu prends 2 aquariums, tu mets du lait dedans comme ça, ils ne voient pas la profondeur, ils ne voient pas ce qu’il y a dessous. Dans un aquarium, tu n’as absolument aucune plateforme donc le rat va nager. Dans l’autre aquarium, tu mets une plateforme qui fait à peu près la taille d’un IPhone et tu le mets 1 cm en dessous du lait. Donc le rat peut la voir donc il peut marcher, il peut se reposer.
Donc tu mets les 2 rats ensemble. Dans un aquarium, tu as la plateforme, dans l’autre, il n’y en a pas. Là où il n’y a pas de plateforme, le rat va se débattre, il ne veut pas mourir, il va se débattre mais au bout de imaginons, 12h, il n’en peut plus, il se laisse couler et là, le scientifique le sort et le met dans une cage. Il se repose au chaud.
L’autre, il nage et il trouve la plateforme, il se met dessus, il se repose, il se met en boule pour se réchauffer. On le prend, on le sort, on le met dans la cage où il se réchauffe. On recommence le lendemain.
Sauf que là, on met 2 aquariums, avec du lait toujours où il n’y a pas de plateforme. Donc le rat qui a failli se noyer, lui, il se laisse couler direct, c’est ce qu’on appelle en anglais « le self-helpless », c’est-à-dire qu’on pense qu’il n’y a pas de solution, qu’il n’y a pas d’espoir, ça, c’est le pire.
Et l’autre rat se dit « mais non, moi j’ai trouvé la plateforme, elle est quelque part. Je l’ai vue la dernière fois ». Et donc il a la volonté de l’esprit de continuer à nager parce que tu sais qu’elle est là, tu l’as vue, elle est quelque part et là, tu vas pouvoir tenir plus longtemps, être plus résistant, plus performant et aller plus loin et voilà.
Il n’y a pas de plan B et moi j’étais un peu comme ce rat-là, je ne vois pas la plateforme mais elle est quelque part et donc je continue à nager parce qu’elle est quelque part. Et en fait ce qu’il faut, c’est que tout le monde doit se mettre dans ce mode.
L’indépendance financière, la liberté pour ma famille, mes proches, l’expérience qui fait la vie. Là je n’arrive pas à la voir encore. On m’en a parlé, je ne sais pas si c’est vrai, je vais trimer mais je vais résister, je vais la trouver.
Encore une fois, on peut croire que c’est un mythe ou autre mais ça existe. Il faut travailler dur, créer de la valeur chez les autres, penser long terme et pas, encore une fois, court terme.
Si tu regardes encore une fois ce couvent, ce bâtiment qui a 500 ans, il est encore là, 500 ans après. Il est magnifique alors que si ça avait construit avec du torchis ou de la paille, il y a très longtemps que ça aurait brûlé ou disparu. Donc on veut penser moyen et long terme et soulever de la fonte et se dire : « ok, la plateforme est quelque part, on va tenir bon, on va résister ».
Il faut développer son mindset.
Encore une fois, moi, quand je pense à l’argent qui va tomber sur le compte en banque je me dis : « mais ne vous inquiétez pas, si vous gagnez de l’argent vous aurez les mêmes problèmes ».
C’est ce que je te disais tout à l’heure dans le Mastermind, c’est qu’il y a un Américain qui a crée une boîte, un logiciel à San Francisco. Il a bossé 5 – 6 ans à développer le truc et il se payait comme un salarié, peut-être 5.000 dollars par mois. Il a décidé de revendre sa boîte et là, quelqu’un la rachète 200 millions de dollars. Et donc le jour où le deal est fait, le virement, il rafraîchit sa page. Il voit sur son compte 200 millions de dollars qui arrivent. Là, il se dit « wow, j’ai 200 millions » !
Quand tu as ce niveau d’argent, tes petits enfants, arrières, arrière-arrière-arrières … ils n’auront plus jamais de problème d’argent et tu te dis : « wow, je n’aurai plus jamais de problème ». Et en fait il se rend compte que la semaine d’après, il a toujours les mêmes craintes, les mêmes soucis, les mêmes peurs alors qu’en fait, il a 200 millions de dollars mais ça ne change absolument rien.
Détélina : En fait, notre monde intérieur est ce qui nous accompagne toute notre vie. On va gagner des choses, on va perdre d’autres choses mais la seule chose précieuse, c’est nous. C’est nous qui créons la valeur, c’est nous qui pouvons tout faire exploser, c’est nous qui pouvons faire beaucoup de malheur autour de nous et c’est nous qui pouvons mettre un système, des process en place pour grandir. Progressivement mais surement dans une direction. Nous devons avoir une vision naturellement.
Toi, qu’est-ce qui a fait qu’à partir du moment où tu t’es lancé dans l’entrepreneuriat… tu as vu que ce n’est pas facile, ce n’est pas donné à tout le monde de devenir entrepreneur. Tu as quand même connu une croissance constante voire exponentielle ces dernières années. Est-ce que c’est un trait de caractère ou est-ce que c’est par ton action, le fait que tu pars aussi te former aux Etats-Unis ?
Est-ce que ce sont des connaissances qui sont venues de l’extérieur ou est-ce que c’est toi qui avais déjà cette base de réussite et tu l’as juste développée ?
Cédric : Je pense que c’est venu de l’extérieur.
Détélina : Tu penses ?
Cédric : En fait il y a une question de tempérament mais j’ai pris un bout là, j’ai pris un bout là, j’ai testé. Je n’ai pas inventé l’immobilier, je n’ai pas inventé le business sur Internet.
Détélina : Donc l’échec n’est pas un problème pour toi ?
Cédric : L’échec ?
Détélina : C’est-à-dire que tu t’es pris aussi des déceptions un jour ?
Cédric : Tous les jours.
Détélina : Mais ce n’est pas grave, tu continues.
Cédric : Oui, mais tous les jours. C’est normal. Donc là, en immobilier par exemple, mes 2 derniers deals, ça va mais là, effectivement par exemple, je n’avais pas vraiment fait attention à un vis-à-vis qu’il y avait parce que les conditions ont changé, bref, c’est une erreur que j’ai faite mais sur le prochain dossier, le prochain deal, je serai plus fort.
Détélina : On ne peut pas gagner tout le temps en fait, il faut aussi savoir lâcher prise parfois.
Cédric : Voilà. Il n’y a pas de surhomme.
Détélina : Qu’est-ce que tu diras à celui qui se lance aujourd’hui ? Les 3 conseils phares.
Cédric : Déjà, ça dépend du domaine dans lequel on veut se lancer mais il faut pas dire : « j’arrête mon taf et je me lance ». Non. Garde ton taf et développe ça en parallèle. Et ne me dites pas que vous n’avez pas de temps. On a 24h dans une journée, c’est énorme.
Donc garder son taf, faire ça en parallèle mais commencez à convertir cet argent que vous gagnez en investissement, en business, quelque chose qui va vous rapporter même quand vous ne serez plus là.
Moi, je n’ai absolument rien contre le salarié ou le fait de travailler. Pour moi vous travaillez, on a que ça pour commencer. Moi aussi j’ai travaillé. Moi aussi j’ai été magasinier, moi aussi j’ai bossé chez Renault à l’usine, moi aussi j’ai bossé chez Leclerc en tant que traiteur, moi aussi j’ai bossé au Leroy Merlin à faire des inventaires.
Il n’y a pas de sous-métiers donc convertir cet argent-là en actif qui travaille pour nous. Garder son taf et construire ça en parallèle pour commencer.
Ensuite, on veut s’entourer des gens qui pensent comme nous, qui sont débutants comme nous, qui sont avancés par rapport à nous mais qui sont aussi supérieurs à nous. Si on prend que des mecs qui sont 100 fois plus loin, ça ne sert à rien… Il faut trouver des gens qui sont 100 fois plus loin, des gens qui sont comme nous et des gens qui sont même à la limite derrière nous parce qu’ils peuvent aussi nous apprendre des trucs. Donc ça va être un petit peu le fait de se créer un cercle.
Et autre, ça va être de se former mais pour développer son mindset, donc pas forcément pour des points techniques. C’est-à-dire que faire de la location saisonnière ou faire de la colocation en immobilier, c’est bien mais ça, ça peut changer du jour au lendemain. S’il y a une nouvelle loi ALUR ou une nouvelle loi ELAN, peut-être qu’il n’y aura plus de colocation mais ce n’est pas grave. Il y aura autre chose. Parce que l’être humain est tellement balèze qu’il va toujours trouver un nouveau truc à exploiter.
Donc ça évolue. Moi l’immobilier, j’ai commencé par un parking et les parkings aujourd’hui, ce n’est plus comme en 2008, ça a évolué. Il y a d’autres choses aujourd’hui.
Détélina : Il faut s’adapter.
Cédric : Apprendre le mindset. Et l’argent est déjà là. Ne dites pas qu’un million d’euros, c’est beaucoup d’argent. Un millions d’euros, ce n’est pas grand-chose. Sérieusement. Quand tu as gagné un million d’euros, quand tu les as, tu te rends compte qu’en fait, ce n’est pas tant que ça. Donc un million d’euros ou de dollars dans les années 70, oui mais aujourd’hui, ce n’est plus comme avant.
Donc tu ne peux pas finir ta vie avec un million d’euros. Si tu regardes, tu as 20, 30 ou 40 ans et que tu arrêtes de travailler et que tu gardes ton million d’euros, que tu consommes tous les jours, tu ne vas pas aller loin avec. Donc ce n’est pas de courir après l’argent mais faire un système qui fait que l’argent va sortir chaque jour, chaque mois, chaque année. Et donc développer son mindset plutôt que de développer une tactique ou penser qu’il y a une nouvelle tactique, non.
Développe ton mindset, la manière dont tu vas penser à gagner de l’argent et du business et de ton équipe, des gens en général. Le mindset.
La première fois, comme tu disais, moi je pense complètement différemment, le fait que j’ai plus d’argent que la plupart des gens dans la rue, c’est mon mindset qui fait que.
Détélina : Et constamment, tu t’entraines et tu est allé dans la logique de rentier dès le début en fait. Tu as gagné 20 ans sur les autres. C’est ça ta force.
Cédric : Oui. Je n’aime pas ce mot « rentier », il y a cette notion de…
Détélina : Oui, placement, investissement rentable à long terme on va dire. Et tu as commencé à 20 ans, 25 peut-être… Du coup, c’est assez rare de comprendre que ce n’est pas en étant salarié que tu vas t’enrichir.
Cédric : Oui, ce n’est pas commun. Oui.
Parce que moi, encore une fois, j’adore les voitures. Et tous les enfants adorent les voitures, homme ou femme, petit garçon, petite fille et après, tous les enfants, quand ils voient une belle voiture, ils sont là : « wow ! » parce que ça nous fait rêver quand on est gamin.
Après on grandit, ce n’est pas pour toi, etc. et même Turbo, Auto-Moto, ils apprennent « cette voiture coûte tant, ce n’est pas pour nous. Demain, c’est lundi, on va au boulot ».
C’est n’importe quoi. Et donc du coup, moi j’ai la « chance » d’avoir des business, d’investir et de pouvoir m’acheter de belles voitures. Et quand les gens me voient à la station-service, au restaurant, ou autre avec ma Lamborghini par exemple, ils vont penser que soit le lieu où je me gare est à moi, ou alors ils vont penser que j’ai gagné au loto ou que je suis un joueur de foot.
Un jour, j’étais avec mon papa guadeloupéen, on était tous les deux là. Et il y a un monsieur qui vient nous demander est-ce que j’ai gagné au loto. Et mon papa lui dit « non ».
Détélina : Parce que pour lui, c’est la seule solution.
Cédric : Et le monsieur dit : « est-ce que c’est un footballeur ? ». Papa dit « non ».
Il dit « mais il fait quoi ? » Et mon papa dit « il est entrepreneur ». Et il n’a pas compris le gars et donc du coup, on dit « oui, je suis footballeur, je joue à Bordeaux, les Girondins, je suis défenseur, c’est pour ça que je ne suis pas trop connu ». Et là, les gens comprennent.
On est dans un cadre, pour avoir une Lamborghini il faut être joueur de foot ou rappeur ou gagner au loto. En fait, non. Moi, je viens d’une famille modeste.
Tu peux juste apprendre, travailler, créer de la valeur pour les gens, les aider et te payer ce que tu veux. Ça, c’est du mindset.
Pour la plupart des gens, ce n’est pas possible. Il y beaucoup de rage sur Internet et autour de nous. Des amis qu’on peut perdre mais des vrais amis qu’on va conserver, la relation va se renforcer.
Et de vrais amis qu’on va perdre et ça, c’est ce que j’appelle des haters. Ce ne sont pas des gens qui t’aimaient vraiment. Les gens qui t’aiment vraiment, s’ils voient que tu évolues, que tu as du succès ou que tu décides de faire autre chose, ils vont te soutenir et ils sont contents que c’est un succès !
Les autres sont juste des crabes qui ne veulent pas que tu réussisses et ils vont juste te tirer vers le bas. Quand tu mets des crabes dans un seau, il y en a un qui va essayer de s’échapper et les autres vont te tirer. Les crabes sont dingues et il y beaucoup d’humains qui sont comme ça. Au moins 50% sont des crabes. Ils ne veulent pas que tu réussisses. Ça leur fait mal quand tu gagnes de l’argent alors qu’eux n’en perdent pas. Mais limite, tu marches dans la rue ensemble, ils voient que tu trouves un billet de 100 par terre, il va dire « aïe, il a gagné de l’argent, ce n’est pas moi ».
Moi, quand quelqu’un gagne de l’argent, je suis content. Quand mes parents gagnent de l’argent avec de la location à la semaine … Ils voulaient aller une semaine en Guadeloupe j’ai dit « non», on va construire une maison là-bas. Vous allez investir sur ce terrain, vous allez la louer et gagner de l’argent, je suis tellement content. Je préfère quand eux gagnent de l’argent plutôt que quand c’est moi qui gagne de l’argent.
Quand mon papa bossait, il gagnait 1500€ par mois en fin de carrière, il était chef d’équipe chez Elis qui est un gros teinturier, c’est pressing industriel. Et quand je vois que maintenant il loue sa maison en Guadeloupe et qu’il gagne 1500€ en la louant une semaine et que c’est une dame qui vient faire le check-in, le ménage et que lui, il ne fait rien, il a assez bossé, je suis super content.
Donc c’est cool mais si tu pars mal quand les autres gagnent de l’argent, c’est déjà que tu as un mindset qui est cassé. Encore une fois pour t’enrichir, ça va être un sport d’équipe. Tu auras une pomme et ce que tu veux, c’est prendre la pomme et la partager avec ton équipe, tes associés et tes clients parce que tes clients aussi, il faut qu’ils aient un bout de la pomme. S’il y a que toi qui manges, tôt ou tard soit on va te mettre une balle soit… non.
Moi, j’adore quand tout le monde gagne de l’argent. C’est assez particulier, c’est du mindset.
Détélina : Oui je pense que c’est ça qui t’a aidé à exploser parce que tu donnes beaucoup de valeur qui te permet de te développer.
Mais justement, ça m’emmène à la question : dans ton entreprise, quelle est l’attitude qui t’a le plus aidé en termes de chiffre d’affaire par exemple. Je prends un exemple : passer de 1 million à plusieurs millions. Quelle a été vraiment pour toi l’attitude, l’état d’esprit ?
Cédric : Déjà en fait, je me disais qu’effectivement, l’argent que vous allez gagner ou autre, ce n’est pas quelque chose de linéaire. Au début ça prend du temps, ça va s’infléchir et boom d’un coup après.
Détélina : Donc il faut persévérer, il ne faut pas lâcher.
Cédric : Oui mais après, il faut savoir lâcher prise quand tu vois qu’effectivement, ce n’est pas bon donc c’est un juste milieu. Donc après, au sein de la boîte, ça va être de prendre le leadership. Pour faire d’un million à plusieurs millions, il faut comprendre que c’est un sport d’équipe et que tu aies une équipe et que toi surtout, il faut que tu puisses faire la preuve du ton leardership pour que ton équipe te suive parce que tout seul, tu ne peux pas réussir et tu ne pourras pas réussir en donnant des coups de fouets. Ou alors tu ne pourras pas réussir longtemps et tu ne vas pas aller loin.
Il faut que toi aussi tu tires sur la charrette. Et en premier par contre tu es un chef d’entreprise. Donc si tu veux t’acheter une Lamborghini, une Porsche ou partir 2 semaines en vacances, on ne va jamais rien te dire parce que c’est toi le chef d’entreprise. C’est toi qui décides.
C’est comprendre qu’il te faut une équipe et faire la preuve de ton leadership pour embrigader ces gens-là avec toi dans ta mission d’entrepreneur.
Détélina : Donc Cédric est un vrai leader et surtout c’est quelqu’un qui a une vision pour ces business mais aussi pour le développement de sa mission en tant que chef d’équipe et chef d’entreprise. C’est ça qui fait que ça dure et qu’il a quand même de plus en plus de fans, de plus en plus de gens qui s’engagent sur cette route de la liberté financière qui n’est pas facile tous les jours mais qui en vaut vraiment le coup.
Le mot de la fin Cédric, qu’est-ce que tu nous dirais ?
Cédric : On est des être humains, on est là pour un laps de temps sur Terre. Donc pas se prendre la tête.
Il faut profiter, il faut savoir prendre du recul. L’argent, ce n’est pas ouf, il n’y a rien d’ouf par rapport à l’argent donc il n’y a pas à se la raconter par rapport à l’argent. Les meilleures choses sur Terre sont gratuites et encore heureux.
Détélina : Est-ce que c’est ça qui rend quelqu’un heureux ?
Cédric : L’argent ?
Détélina : Oui.
Cédric : L’argent n’a absolument rien à voir avec le bonheur. Liberté oui.
J’adore l’argent. Par contre si tu n’es pas heureux sans argent, tu ne seras pas heureux avec de l’argent. Par contre si tu es heureux sans argent, tu seras aussi heureux avec une Lamborghini.
Détélina : En fait, l’argent est un amplificateur de ce qu’on est. Si vous êtes malheureux, vous serez encore plus malheureux et si vous êtes heureux, vous serez encore plus heureux.
Cédric : Si tu es con sans argent, tu seras un gros con avec de l’argent. Et si tu es bon sans argent, tu seras encore plus bon avec de l’argent car tu pourras faire encore plus de bien.
Donc voilà. Donc ce que je voulais dire pour finir : les meilleures choses sur Terre sont gratuites. L’amour de tes enfants, de ton conjoint, de ton mari, de ta femme. Le fait d’être en bonne santé. Tu peux être milliardaire, si tu as un cancer… je touche du bois.
Respirer l’air, le fait de rigoler, d’avoir des amis, prendre l’apéritif.
Tu vois, tu as ta bouteille de vin, tu vas à Venise avec ta copine, tu vas le long du fleuve, ça ne coûte rien.
Détélina : Bonheur simple et précieux.
Cédric : Oui. Par contre, les deuxièmes meilleures choses sur Terre, les bons restaurants, les bons hôtels, les belles voitures, une belle maison, les voyages super classes, un beau gadget, une belle montre, c’est super cher. Mais si tu aimes ça, tu vas travailler dur mais tu n’auras pas ça, ce n’est pas la meilleure chose.
La meilleure chose pour moi, c’est quand mon premier fils est né, il y a une décharge d’émotion. Je pleurais de toutes mes larmes et tu as une espèce de masque mais je pleurais, j’avais de la morve. La dame me demande « ça va monsieur ? »
« Oui, c’est juste que je suis heureux »… C’est moi qui aie fait ça ? Il est parfait mais ça n’a rien à voir avec n’importe quelle voiture de sport, de luxe ou de maison d’architecte. Et c’est gratuit. Il y a une telle décharge WAOUH !
Et quand j’ai eu mon deuxième enfant, je me suis dis : « du coup, l’amour que j’ai va être divisé en deux ?» Et non, l’amour se multiplie. WAOUH ! J’ai deux fois plus d’amour maintenant ! Et c’est gratuit.
Détélina : Les meilleures choses sont gratuites.
Cédric : C’est ça. Mais l’argent permet d’acheter des jouets.
Détélina : Et ça permet d’avoir plus de temps, avec ce temps-là qui est une ressource limitée. On a tous un compte à rebours. On peut mettre plus d’intensité, plus de joie, plus de partage, plus de générosité et le business n’est qu’un moyen qui est très important pour y arriver.
Cédric : Carrément.
Détélina : Tu es d’accord ?
Cédric : Oui. C’est cool. On va aller boire un petit verre, on va aller voir les autres.
Détélina : On l’a bien mérité.
Cédric : Oui. Merci !
Mettez un commentaire en dessous pour savoir ce que vous pensez de Détélina et encore une fois, pensez bien à la conclusion.
Détélina : Merci, merci beaucoup Cédric. Merci d’être resté avec nous !
N’hésitez pas à télécharger mon livre « Créer un bien d’exception » et puis je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures.
Cédric : Petite précision, il n’y a pas assez de femmes. Encore une fois, les femmes sont trop généreuses. Et donc du coup elles pensent d’abord aux enfants, aux amis, aux conjoints et maris et après elles pensent à elles.
Il y a 24h dans une journée mais souvent, il n’y a plus de temps. Donc non, je pense qu’il y a beaucoup de femmes qui te suivent mais c’est un peu comme en avion, si tu as une dépressurisation, tu vas d’abord mettre le masque sur toi et après t’occuper des autres, c’est pareil avec l’argent. Si tu veux t’occuper des autres, tu mets le masque de ton gamin ou autre, tu n’auras pas le temps, il va s’asphyxier et toi aussi.
Mets d’abord le masque sur toi, tu vas respirer, tu as les idées claires et ensuite tu vas t’occuper des autres. Donc vous, mesdames, vous devez pensez à vous en priorité parce que vous êtes trop généreuses. Donc pensez à vous en priorité et après vous pourrez aider les autres.
Détélina : Parce que vous êtes souvent le pilier de la famille et sans vous, tout s’écroule. Donc c’est VOUS. Merci.
A votre succès et épanouissement !
Détélina
Bonjour à tout les deux,
Content de vous entendre à nouveau. J’ai bien aimé l’interview. Il me conforte dans la conviction que même si aujourd’hui je part de zéro, j’ai déjà le bon mindset, je ne suis pas « seul sur mon petit nuage »…
Bonne continuation et à bientôt!
Cordialement.
Pedro RAUBER
Bonjour Pedro,
Tu n’es pas seul 🙂 Le plus important c’est le bon mindset. Continue de te former, applique et élimine tout ce qui t’éloigne de tes objectifs. Je suis sûre que tu y arriveras !
A bientôt.
Belle interview, beau message….je suis 1 peu lent ms j’avance sur ce chemin sereinement.. & ayant grandi au milieu de femmes, de mères maintenant…je confirme, le business, l’épanouissement personnel, n’a pas de sexe… alors fonçez! Merci!
Merci à toi Manu 🙂
Bonjour,
Merci pour cette vidéo, très inspirante.
Ça fait plaisir d’entendre des personnes qui ont un autre état d’esprit et qui nous montre qu’en s’entourant de personnes qui pensent différemment; on peut aller très loin.